Affichage des articles dont le libellé est 10. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est 10. Afficher tous les articles

jeudi 13 octobre 2011

Frédéric Lefebvre - Qu'est ce que le web 2.0 ?

Dire que ce brave messieurs nous fait de long discours sur le net.....encore une fois ça fait mal !




Emmanuel Todd

Sarkozy et l'identité nationale, décrypatge :




lundi 10 octobre 2011

Annuaire des revendeurs en matériels électoniques (Paris, Europe, Monde)

Pour Paris  
  • Selectronic, 11 Pl Nation, 75012, 01 55 25 88 00. Néon, Leds superbrite, ...
  • RAM, 131 bd Diderot 75012, 01 43 07 62 45, place nation. Matérial audio, cables, jack, pas mal de récup
  • St Quentin radio, 6 rue de St Quentin, 75010, 01 40 37 70 74, Gare du Nord. Beaux cable, bon matériel electro
  • Les Cyclades (Gare de Lyon) 11 bd Diderot 75012 PARIS, 01 46 28 91 54 . www.cyclades-elec.fr/ . Guirlande lumineuse 220v à découper, LEDs Varatech...
  • EspaceComposantElectro, 66 Rue de Montreuil 75011, 01 43 72 30 64 pas mal de recup, tres bon conseils
  • Pyrennées composants, rue des Pyrennées 75020, . www.compopyrennees.com/ . Cartes à puce, affaire sur les HP, ...
  • Les chinois de Arts et Metiers. Cable (casque walkman), leds blanches (torches), ...
  • Empire Electronique. Metro Anvers
  • Intercomposants, 127 Rue De Paris 91300 Massy
  • Electronic Diffusion, 43 r Victor Hugo 92240 MALAKOFF, 01 46 57 68 33 (pas mal de trucs genre QT...)
  • Perlor Radio Electronique, 25 rue Hérold 75001 Paris, 01 42 36 65 50 (grave les plaques, des fers a souder pas mal..)
  • Lextronic (http://www.lextronic.fr) 36/40 rue du Gal de Gaulle, 94510 La Queue en Brie , 01 45 76 83 88 (des compos exotiques, très riche, SchmartBoards, PCB...)

Specialized on Paris

  • Mille et une piles , nation, tout pour les portables, les batteries, les piles bizarres... de très bon conseil!
  • Girard et Sudron, Metro chemin vert, Bd beaumarchais ? ... tout sur les ampoules spécialisées (tech ou déco).

"Gros" (mean be a corporation to buy from 'em)

  • Orbitec (Clichy près Rue de Paris) : leds, BIG leds, matrice de leds, inter, microrupteurs (ceux des joy d'arcade), ...
  • Hervé (villemonble) : gradateurs lumière, DMX ...
  • Diltronic (St Germain en Laye), http://www.diltronic.com : importateur FTDI, acceleros...
  • gros catalogue détaillé par fournitures (info industriel) pour les commandes en gros ...

Catalogs

Source : http://www.arduino.cc/playground/Main/Resources

Vous trouverez sur ce site des informations pour les autres pays.

L'histoire du stockage digital

mardi 20 septembre 2011

Stop la pub ! Quelques sites antipublicitaires

Quelques sites antipublicitaires :
Les déboulonneurs :  www.deboulonneurs.org
Brigades Anti Pub :  www.bap.propagande.org
Résistance à l'Agression Publicitaire :  www.antipub.org
Casseurs de pub :  www.casseursdepub.org
Ouvre ça :  www.ouvresa.tk
L'église de la Très Sainte Consommation :  www.consomme.org

Stop la pub !

vendredi 25 février 2011

Dead Drops


‘Dead Drops’ is an anonymous, offline, peer to peer file-sharing network in public space. USB flash drives are embedded into walls, buildings and curbs accessable to anybody in public space. Everyone is invited to drop or find files on a dead drop. Plug your laptop to a wall, house or pole to share your favorite files and data. Each dead drop is installed empty except a readme.txt file explaining the project. ‘Dead Drops’ is open to participation. If you want to install a dead drop in your city/neighborhood follow the ‘how to’ instructions and submit the location and pictures.

vendredi 11 février 2011

Extraire une page d'un fichier .ps ou .pdf

Pour les pdf en installant "pdftk" (très pratique au passage), on peut faire ça.

Par exemple pour extraire les pages 2 à 5 et 23 à 45 d'un pdf (bash.fr) vers un nouveau document (test.pdf) :
pdftk bash.pdf cat 2-5 23-45 output test.pdf

jeudi 4 novembre 2010

Une victoire à 5 800 milliards de dollars

Fallait-il vraiment construire 70 000 armes nucléaires pour gagner la guerre froide ?


  Brian McMahon, qui présidait au début des années 1950 la commission de l'énergie atomique au Congrès, propageait cette idée "de bon sens" : les armes nucléaires fournissaient, à prix égal, une puissance de feux très supérieure aux armes conventionnelles.
Pour la première fois, un audit dresse la comptabilité américaine de l'ensemble de la course aux armements nucléaires. Au-delà des additions en milliards de dollars, le rapport s'interroge sur les processus de décision qui ont permis de construire un arsenal pléthorique. Et aujourd'hui ? Le contexte géostratégique est nouveau, mais le contrôle politique de l'arme nucléaire semble toujours aussi défaillant.
En septembre 1951, le sénateur démocrate du Connecticut Brian McMahon, président de la commission de l'énergie atomique au Congrès américain, définissait en ces termes la raison d'investir dans l'armement nucléaire : " Le coût de la puissance de feu nucléaire est plusieurs centaines de fois inférieur à celui des explosifs conventionnels. [ ... ] Depuis 1945, seulement 3 % des dépenses militaires américaines ont été consacrés à l'armement atomique. [ ... ] Nos projets de développement actuels continuent à lui affecter ces mêmes 3 %. "
Selon un rapport récent, rédigé par onze chercheurs d'un très sérieux organisme spécialisé en analyses politiques et économiques, la Brookings Institution, l'estimation du sénateur McMahon reposait sur des méthodes comptables douteuses. Elle n'incluait en effet que les dépenses faites sur le budget de la Commission à l'énergie atomique (AEC) et ignorait complètement les crédits de recherche du Département de la défense (DOD), de même que les coûts de construction et de fonctionnement des bombardiers stratégiques, à l'époque les principaux vecteurs de l'arme atomique. Détail piquant aujourd'hui, cette première tentative d'évaluation des coûts faisait suite à des reproches adressés au Congrès de ne pas consacrer suffisamment d'argent à ce poste budgétaire ! Brian McMahon, qui fut par ailleurs le principal artisan du maintien de la R&D nucléaire hors de l'orbite militaire, avait admis que les dépenses étaient en effet " exagérément et imprudemment faibles ". Un mois à peine après la déclaration de McMahon devant le Sénat, un responsable du DOD reconnaissait néanmoins qu'il n'existait aucune comptabilité détaillée des dépenses dans ce secteur...
Près d'un demi-siècle plus tard, l'enquête de la Brookings rend publique la première évaluation approfondie du coût de l'arsenal nucléaire américain et des programmes afférents (déploiement, vecteurs, protection des installations et démantèlement des systèmes d'armes). Paru le 30 juin dernier, ce rapport de 680 pages est intitulé Atomic Audit : The Costs and Consequences of us Nuclear Weapons Since 1940 (" Audit nucléaire : les coûts et les conséquences de l'armement atomique américain depuis 1940 "). Il aboutit à une estimation du bilan de cette entreprise titanesque : 5 480 milliards de dollars (valeur 1996), pour la période 1940-1996. Cette fois-ci, le décompte inclut bien le prix des bombes elles-mêmes, celui des laboratoires et des réacteurs, des bombardiers, des sous-marins, des missiles et des silos, mais aussi du maintien du secret et de la sécurité des installations, des systèmes de guidage des vecteurs ainsi que de la défense antinucléaire du territoire américain ; enfin, il comprend les coûts du démantèlement des systèmes d'armes, du traitement des déchets radioactifs et de la restauration de l'environnement dans tout le complexe militaire, et n'oublie même pas les compensations financières versées aux personnels accidentés lors des processus de production ou d'expérimentation des armes.
L'audit a débuté il y a quatre ans. Selon Stephen !. Schwartz, directeur du projet, l'idée n'était pas d'évaluer la justification du prix de la force nucléaire américaine pour gagner la course aux armements avec l'ex-Union soviétique. Il s'agissait avant tout de fournir un cadre de départ à " un débat honnête et pleinement informé ". Savoir si la victoire a été obtenue à un prix raisonnable demeure un sujet de discussion. Paul Warmke, directeur de l'Agence pour le contrôle de l'armement et le désarmement sous la présidence de James Carter, a déclaré qu'un débat public sur l'accumulation d'armes nucléaires " n'aurait pas changé grand-chose. Les Américains avaient peur de l'Union soviétique, et auraient été d'accord, quel que soit le prix. [ ... ] Pour eux, la dissuasion nucléaire était une police d'assurance ; le montant de la prime était sans importance. " En 1981, Ronald Reagan entra à la Maison Blanche fermement décidé à entreprendre un effort militaire qui s'avérerait sans précédent en temps de paix.

Les rivalités entre les armées ont amené à la conception de 65 modèles de têtes nucléaires pour 116 types de vecteurs différents

Sa conviction était double: d'une part, il était persuadé que les forces antinucléaires soviétiques étaient supérieures à celles de l'Amérique ; d'autre part, il voulait mettre en place une stratégie visant à acculer l'" empire du Mal " à la faillite et, ainsi, à mettre fin à la Guerre froide. Pourtant, et bien que l'Union soviétique se soit effectivement effondrée en 1991, la Brookings n'a pas trouvé de preuves que le Kremlin ait augmenté ses dépenses militaires pour se maintenir au niveau des sommes faramineuses engagées par l'administration Reagan dans le développement de nouvelles armes, de bombardiers stratégiques, de sous-marins nucléaires, de missiles de croisière et dans l'Initiative de défense stratégique (IDS). Dans une récente émission de télévision, George Shultz, ancien secrétaire au Trésor puis secrétaire d'Etat de Ronald Reagan, a affirmé, à l'instar de Paul Warmke, que " les Américains étaient persuadés que la paix n'avait pas de prix ".
Fondée sur le dépouillement d'archives et de documents gouvernementaux récemment déclassifiés, l'étude de la Brookings décrit pour la première fois les divers facteurs ayant oeuvré à l'acquisition d'un arsenal nucléaire très supérieur à ce que les dirigeants de l'époque, tant civils que militaires, estimaient eux-mêmes nécessaire. Ces facteurs sont aussi bien la surestimation de la menace soviétique et la disproportion de la réaction américaine que la volonté de maintenir à tout prix la supériorité nucléaire des Etats-Unis, des préoccupations électoralistes, une politique de secret excessive et des a priori erronés sur l'efficacité des armes atomiques. Cette diversité explique qu'à la tête du pays, on vit en réalité s'exprimer des opinions très différentes à propos de l'armement nucléaire. En 1964 par exemple, l'administration du Budget du président Lyndon Johnson, soucieuse de dégager les moyens de financer son projet de " Grande Société ", arrivait à la conclusion qu'un arsenal dépassant les 450 missiles Minuteman représentait non seulement un excès de capacité destructrice, mais surtout un gaspillage financier. La même année, le secrétaire à la Défense Robert McNamara affirmait de son côté que le nombre nécessaire était de 10 000 Minuteman (il finit par se contenter de 1 000). Le même McNamara déclara, toujours en 1964, qu'une capacité nucléaire de 400 mégatonnes suffisait à la stratégie de " destruction mutuelle assurée " adoptée vis-à-vis de l'Union soviétique (or, les stocks américains atteignaient déjà les 17 000 mégatonnes).
Le rapport critique sévèrement les différentes administrations présidentielles, aussi bien que les représentations nationales qui se sont succédé au Congrès, pour leur manque chronique de sens des responsabilités financières dans la détermination de la dimension et des coûts des programmes d'armement nucléaire. En 1950, par exemple, une commission du Congrès refusa d'être mise au courant de la taille exacte de l'arsenal atomique américain, de crainte de provoquer des fuites. Le groupe de la Brookings s'est penché sur les décisions cruciales qui, à partir des trois premières bombes de 1945, ont permis à l'arsenal américain d'atteindre le chiffre de 32 000 armes en 1965, année de son apogée. Au total, les Etats-Unis ont construit plus de 70 000 armes nucléaires. Les rivalités entre l'armée de terre, l'US Air Force et l'US Navy ont amené à la conception, entre 1945 et 1991, de 65 modèles de bombes et têtes nucléaires, pour 116 types de vecteurs différents.

  Robert McNamara, secrétaire à la Défense du président Lyndon Johnson, estimait en 1964 que la sécurité des Etats-Unis nécessitait la construction de 10 000 missiles Minuteman (ci-contre); une autre estimation, réalisée par l'administration responsable du Budget, aboutissait à diviser ce nombre par vingt ! (Cliché Keystone et Sygma)  
Les dépenses contestables ne résident pas seulement dans la suraccumulation d'armes. Par exemple, entre 1946 et 1961, le gouvernement américain a investi 7 milliards de dollars dans la conception d'un bombardier à propulsion nucléaire, susceptible de voler plusieurs jours ou même plusieurs semaines sans devoir se poser. A supposer que les problèmes techniques aient pu être résolus, une question restait sans réponse : que se passerait-il en cas de crash de l'appareil ? Le projet fut abandonné. " Beaucoup de monde, au Pentagone ou au Capitole, estimait que les armes nucléaires pouvaient fournir, à prix égal, une puissance de feu supérieure ", a noté Stephen Schwartz lors d'une conférence de presse. Les politiques de défense suivies par les présidences Truman puis Eisenhower partaient en effet de l'hypothèse que l'arme nucléaire était le moyen le plus efficace pour contrer la menace soviétique. Dans son rapport, Stephen Schwartz fait observer : " On peut expliquer l'opinion communément partagée que les armes atomiques sont moins chères que les armes conventionnelles par le fait qu'une quantité donnée de matière fissile (plutonium ou uranium hautement enrichi) fournit plus de puissance explosive que la même quantité d'explosifs conventionnels. D'où l'idée que si 10 kilos d'explosifs conventionnels peuvent tuer ou blesser 100 personnes, 10 kilos de plutonium peuvent tuer ou blesser 100 000 personnes. " Il cite aussi Brian McMahon faisant observer au Sénat américain, le 18 septembre 1951, que ces " armes effroyables ", si on les déployait par milliers, dissuaderaient Staline jusqu'à ce que " ses millions d'esclaves brisent leurs chaînes et se joignent à nous dans la paix et la fraternité ". McMahon continuait ainsi: " Pulvériser une douzaine d'usines de guerre ennemies à coups de bombes atomiques ne coûterait pas plus cher que d'en détruire une seule avec des bombes conventionnelles, sans parler du fait qu'un seul avion suffit pour lancer une bombe A, quand le transport de la charge équivalente de TNT nécessite une immense flotte aérienne. " En faisant de l'arme atomique la véritable " colonne vertébrale " de leur puissance militaire, les Etats-Unis se rendraient capables de frapper l'ennemi en tout temps et en tout lieu, si bien qu'" au cas où celui-ci oserait nous attaquer, il ne pourrait trouver aucun refuge où nous échapper ", poursuivait McMahon. En outre, déclarait-il encore, les forces nucléaires, " en bonne logique et suivant le sens commun ", permettraient une diminution du nombre d'Américains sous les armes et " une réduction massive des dizaines de milliards de dollars que nous aurions autrement à dépenser en stocks d'armes conventionnelles ".

  La répartition des coûts engendrés par la course aux armements nucléaires entre 1940 et 1996 montre que le poste " conception et construction des armes ", souvent mis en avant, ne représente qu'une faible partie de l'ensemble (7% de 5 821 milliards de dollars). La comparaison avec quelques postes du budget fédéral américain (en bas) fait apparaître le poids exorbitant des dépenses nucléaires militaires.
A l'époque, ces arguments ont été contestés par diverses autorités militaires. Moins de deux années plus tard, le général Matthew B. Ridgway, commandant en chef des forces alliées en Europe, indiquait ainsi que " les nouvelles armes nucléaires tactiques exigeraient plus de personnel, mais augmenteraient aussi le prix à payer par le contribuable pour la défense ". Et son successeur, le général Alfred B. Gruenther, vieil ami et partenaire de bridge du président Eisenhower, ajoutait que " les nouvelles armes ont souvent pour effet de créer de nouveaux problèmes et de nouvelles tâches, sans pour autant éliminer ceux auxquels nous étions précédemment confrontés ".

Les dépenses colossales actuelles ne semblent justifiées que pour assurer la continuité de l'emploi dans les laboratoires

Malgré ces critiques, le secrétaire d'Etat John Foster Dulles a pu déclarer au Conseil des Affaires étrangères, le 12 janvier 1954, que les stratégies de défense de l'administration Eisenhower dépendraient de l'importante capacité des Etats-Unis à " riposter instantanément, par des moyens et dans les lieux de notre choix " et, surtout, qu'il était désormais possible " d'obtenir et de partager [avec nos alliés] une meilleure sécurité à un coût moindre ". Cette stratégie fut bientôt connue sous le nom de " doctrine de riposte massive ".
De fait, la conception et le développement des têtes nucléaires n'a représenté qu'une faible partie du coût total: à peine 7 %. Près de 56 %, soit 3 200 milliards, furent affectés à une pléthore de systèmes de déploiement, justifiés par la perception des nécessités de l'époque: la " suprématie en bombardiers " de la fin des années 1940 et du début des années 1950 - qui répondait au premier essai nucléaire soviétique d'août 1949, à la mainmise communiste sur la Chine un peu plus tard la même année, et au déclenchement de la guerre de Corée en juin 1950 - ou la déplorable " suprématie en missiles ", enjeu de l'élection présidentielle de 1960.
Au cours des années 1950, la production d'armes nucléaires augmenta si rapidement que l'AEC, propriétaire du complexe nucléaire, devint l'une des plus grandes entreprises industrielles des Etats-Unis. Au plus fort de sa montée en puissance, en 1952-1953, le complexe nucléaire employait 149 000 personnes, dont 72 000 travailleurs permanents chargés de concevoir, tester et produire les armes atomiques.
Et aujourd'hui ? Bien que l'on ne produise ni n'essaie plus de nouvelles armes, les arsenaux américains sont encore dotés d'environ 10 000 têtes nucléaires qui, selon le rapport, représentent en capacité destructrice l'équivalent de 120 000 bombes d'Hiroshima. Le budget annuel actuellement dévolu au programme de gestion du parc existant (Stockpile Stewardship), conçu pour maintenir la sécurité et la fiabilité des armes, est de 4,5 milliards de dollars. D'après les déclarations du Département de l'énergie (DOE) devant le Congrès, cette somme serait inférieure aux dépenses annuelles moyennes pour la conception et les essais de nouvelles armes pendant la Guerre froide. Or, le document de la Brookings établit qu'entre 1948 et 1991, la dépense annuelle moyenne pour les activités aujourd'hui classées sous l'étiquette Stockpile Stewardship était de 3,6 milliards de dollars (valeur 1996).
Les analystes de la Brookings s'interrogent donc: pourquoi le budget de ce programme est-il plus élevé qu'il ne l'était pendant la Guerre froide ? Lors de la présentation du rapport à la presse, un des coauteurs, William J. Weida, professeur d'économie au Colorado College de Colorado Springs et ex-conseiller en politique économique au Pentagone, a affirmé que le programme prévoit " des dépenses colossales qui ne semblent justifiées que pour assurer la continuité de l'emploi dans les laboratoires nationaux ". Le professeur Weida affirme être en train de travailler à une étude complémentaire qui se prépare à " démontrer en toute prudence " qu'un fonctionnement satisfaisant du programme Stockpile Stewardship pourrait être réalisé pour la moitié du coût sur lequel le DOF et le Congrès se sont mis d'accord.

  Dans les années 1950, plusieurs responsables militaires (dont le général Gruenther) avaient souligné que l'apparition de nouvelles armes engendrait souvent de nouveaux problèmes sans éliminer les précédents. Ayant lui-même servi dans un sous-marin nucléaire, Jimmy Carter est, selon la Brookings Institution, le dernier président à s'être sérieusement intéressé à la planification nucléaire. (Clichés Keystone)  
Au DOE, on réfute ces affirmations. Robin Staffin, sous-secrétaire adjoint à la recherche en armement nucléaire, qualifie le programme Stockpile Stewardship d'" équilibré, prudent et efficient ". De son côté, William Weida plaide contre la construction de l'instrument National Ignition Facility [équivalent du Laser MégaJoule français-NDLR] au laboratoire national Lawrence Livermore. Il fait par ailleurs observer que, à présent que l'on ne développe ni ne construit plus de nouvelles armes, Livermore pourrait fusionner avec le laboratoire national de Los Alamos, ce qui serait source d'importantes économies. Le DOE réplique en se référant à une décision prise en 1997 par le président Clinton (directive 60). Cette directive, toujours classée secrète, conclut à la nécessité de conserver intacts les laboratoires, quitte à élargir les missions de chacun d'eux à des recherches sur la défense chimique et biologique. " Faute d'une connaissance complète des coûts présents et futurs " conclut le rapport de la Brookings, " les décideurs politiques seront mal équipés pour évaluer les implications budgétaires de leurs décisions concernant le parc d'armes nucléaires, y compris les armes dont la destruction est prévue par le traité Start II mais qu'il faudrait maintenir si le traité n'était pas ratifié par la Douma russe. " Les experts recommandent que le Congrès vote une loi exigeant que le Président lui soumette un rapport complet des coûts " détaillés " de tous les programmes gouvernementaux liés aux armes nucléaires. En effet, si le DOD et le DOE ont naturellement la responsabilité de presque toutes les armes nucléaires existantes, plus d'une douzaine d'agences, dont l'Office de la politique scientifique et technologique de la Maison Blanche, le Conseil national de sécurité, l'Agence de protection de l'environnement, la NOAA (National Oceanographic and Atmospheric Administration) et la NASA, sont impliquées dans des actions qui leur sont liées.
Le groupe de la Brookings préconise que le président des Etats-Unis prenne une part plus active " dans la formulation de la politique et des besoins en matière d'armement nucléaire ". Il fait remarquer que " le dernier (et le seul) président à s'être penché sérieusement sur le processus de planification nucléaire a été James Carter, lui même ancien sous-marinier à bord d'un bâtiment nucléaire. Ses successeurs n'ont été ni aussi impliqués ni aussi attentifs que lui. "Parallèlement, il exhorte le Congrès à " renforcer sa surveillance des programmes d'armement nucléaire, en ne se contentant pas de se concentrer sur les articles les plus dispendieux ou les plus discutés du budget d'une année donnée, mais Plutôt sur une large vision stratégique : comment prévoit-on d'utiliser la force nucléaire, en quoi les divers éléments du Programme contribuent-ils à la dissuasion, et en quoi consiste la dissuasion à notre époque d'après-Guerre froide " . Les annales montrent que le Congrès, depuis le début, a été " tout sauf diligent dans l'exercice de ses responsabilités de contrôle " sur les budgets d'armement nucléaire. " Le fait qu'une grande partie de notre arsenal actuel ait été acquise en fonction de décisions arbitraires ou dépourvues de pertinence stratégique, et justifiée ensuite par des raisonnements a posteriori, devrait nous rappeler que les programmes, les politiques et les niveaux d'armement souvent considérés comme sacro-saints ne sont pas obligatoirement nés d'objectifs militaires réels et clairement définis. "


IRWIN GOODWIN est journaliste à Physics Today.
Ce texte, adapté d'un article paru dans Physics Today (août 1998),
a été traduit par Pierre Bancel).
Source : LA RECHERCHE N°315 DECEMBRE 1998

Les principaux mots de liaison anglais

A utiliser à bon escient!
- after all : après tout
- Again : De plus, En outre; D'ailleurs
- alias : alias, ou (de reformulation, d'équivalence), autrement dit
- all the same : malgré tout, quand même, tout de même, au demeurant
- Also, ... : 1/ De plus - 2/ De même
- among others : entre autres
- and : 1/ et - 2/ (And ... ) De plus
- as a consequence : de ce fait, en conséquence (de quoi)
- as a matter of fact : en fait
- as a result : de ce fait, en conséquence (de quoi)
- As well, ... : De surcroît
- as well as ... (conj. de coord.) : ainsi que, de même que
- at any rate : en tout cas, de toute façon
- at least : 1/ au moins - 2/ du moins
- besides : d'ailleurs, du reste
- both ... and ... : et ... et ..., à la fois ... et ...
- but : 1/ mais - 2/ (suivi de then) en revanche
3/ (But ...) En revanche, Cependant
- by the way : à propos, soit dit en passant
- despite this : malgré cela
- e.g./eg (du latin exempli gratia) : par ex. / p.e. (par exemple) (lu "for example" en G.B. mais souvent "e g" aux E.U.)
- either ... or ... : soit ... soit ..., ou bien ... ou bien ...
- even better : bien mieux, mieux encore
- even so : mais cependant, quand même, malgré cela
- first, ... second, ... third, ... : primo, ... secundo, ... tertio, ...
- for (précédé d'une virgule) : car, en effet, ":"
- for all that : malgré cela
- for example : par exemple
- for instance : par exemple
- for one thing : une raison, c'est que ..., entre autres raisons
- for one thing ... , for another ... : d'un côté ... , de l'autre ...
- for that matter : pour ce qui est de cela, d'ailleurs
- for this purpose : à cet effet, dans ce but
- for this reason : pour cette raison
- Further, ... (aussi entre virgules) : En outre; D'ailleurs, Du reste
- furthermore : de plus, en outre
- hence : d'où, de là, partant
- however : cependant, toutefois, pourtant, du reste
- i.e./ie (du latin id est) : c.-à-d. (c'est-à-dire), à savoir (lu "that is to say" en G.B. mais souvent "i e" aux E.U.)
- if not : sinon
- in addition : en sus, de surcroît, en outre
- in any case : en tout cas
- in/by comparison : en comparaison
- in/by contrast : par opposition
- in effect : en fait, en réalité
- in fact : en fait
- in other words : en d'autres termes, autrement dit
- in spite of that : malgré cela
- in that case : en ce cas là
- in the first place, ... in the second place, ... : en premier lieu, ... en second lieu, ...
- in the same way : de même
- in this case : dans ce cas
- in which case (après virgule) : auquel cas, et dans ce cas
- instead (général. en tête de phrase, + virgule) : au lieu de cela
- inter alia (expression latine) : entre autres
- last but not least : dernier point mais non le moindre
- let alone : sans parler de ..., sans compter ..., à plus forte raison ...
- likewise : également, pareillement
- moreover : en outre, de plus
- More than that, ... : Bien plus
- namely : à savoir (peut encore se traduire par ":")
- neither ... nor ... : ni ... ni ...
- nevertheless : néanmoins, toutefois, toujours est-il que, il n'empêche que
- nonetheless : néanmoins, toutefois
- nor : 1/ ni 2/ (général. en tête de phrase, + auxiliaire + sujet) ne ... pas davantage, ne ... pas non plus
- not just ... but also ... : non pas simplement ... mais aussi ...
- not only ... but also ... : non seulement ... mais aussi/également/encore ...
- Not only that, ... : Il n'y a pas que cela, ..., Bien plus, ...
- not to mention ... : sans parler de ..., outre ...
- notwithstanding : nonobstant, néanmoins
- Now, ... : 1/ Or - 2/ Il se trouve que
- on the contrary : au contraire
- on the one hand ... on the other hand ... : d'une part ..., d'autre part ...; d'un côté ..., de l'autre ...
- on the other hand (seul) : 1/ en revanche - 2/ d'un autre côté
- on top of that (général. en tête de phrase, + virgule) : qui plus est, en plus de cela
- or : 1/ (reformulation, équivalence) ou, autrement dit - 2/ (double possibilité) ou, ou bien - 3/ mais peut-être - 4/ sinon
- or again : ou encore
- or else : sinon
- or otherwise : sinon
- or rather : ou plutôt, ou mieux, ou plus exactement
- otherwise : 1/ sinon - 2/ (précédé de but) mais à part cela, mais par ailleurs
- over and above : par dessus le marché
- Plus, ... : De plus
- Rather, ... : Mieux, Plus exactement
- say (= let us say) (en incise) : disons ..., mettons..., par exemple ...
- so (parfois précédé de and) : donc, par conséquent, aussi, c'est pourquoi
- still (général. en tête de phrase, + virgule) : cependant, quoi qu'il en soit, pourtant, malgré cela
- that is to say (parfois abrégé en that is) : 1/ c'est-à-dire - 2/ du moins
- then (souvent en liaison avec subord. par if ou when) : en ce cas, alors, donc
- thereby : de ce fait, par là
- therefore : donc, par conséquent
- The reason is ... : La raison en est que ...
- The result (var. : The upshot) is (that) ... : Le résultat, c'est que ..., Cela fait que ...
- This is because... : C'est parce que ..., Cela vient du fait que ..., La raison en est que ...
- this is why : c'est pourquoi
- This means that ... / What this means is that ... : 1/ Cela veut dire que ..., En d'autres termes - 2/ Il en résulte que ..., Cela fait que ...
- though (général. en fin de phrase, après une virgule) : cependant, pourtant, malgré tout, quand même
- thus : ainsi (au sens de donc, par conséquent)
- to name only a few : pour n'en citer que quelques-uns, entre autres
- to this end : à cet effet
- viz. (du latin videlicet) (lu "videlicet" ou "namely") : c'est-à-dire, à savoir
- What is more / What's more, ... : Qui plus est, Bien plus
- which is why (après virgule) (= and this is why) : et c'est pourquoi, ce qui explique pourquoi
- which means that ... (après virgule) (= and this means that) : 1/ ce qui veut dire que ... - 2/ ce qui fait que ...
- yet : 1/ (général. en tête de phrase) pourtant, cependant, malgré tout - 2/ (précédé de and ou de but) et pourtant, mais pourtant
Dans une langue plus familière, on trouve encore :
- Consequence: ... : Conséquence : ..., Résultat : ...
- Example: ... : Ainsi, Par exemple
- Reason: ... : La raison : ...
- The goal: ... : Le but visé est de ..., But de l'opération : ...
- The result: ... : Résultat des courses : ..., Total : ...
REMARQUE
Il convient de ne pas confondre certains adverbes ou locutions adverbiales marquant l'adjonction, ainsi :
- besides
- over and above
- plus
avec les prépositions et locutions prépositives suivantes :
- besides ( + subst. ou + gér.) : outre; outre le fait de
- over and above (+ subst.) : à côté de
- plus (+ subst.) : plus
: de plus
: par dessus le marché
: d'ailleurs, du reste

Télévision de rattrapage (Cath up TV)

Des sites qui référencent les différentes émissions de la TV française :

http://www.tv-replay.fr/

http://replaytele.com/


Un petit récapitulatif :


Chaine portail technologie Compatible Mac
TF1 http://videos.tf1.fr Flash
France 2 http://videos.france2.fr/ Windows Media, Silverlight
France 3 http://videos.france3.fr/ Silverlight
France 4 http://www.france4.fr/videos/ Flash
France 5 http://videos.france5.fr/
http://www.france5.fr/videos/
http://documentaires.france5.fr/
Windows Media, Flash
France Ô http://www.rfo.fr/programmes/ Silverlight
Canal Plus (en clair) http://player.canalplus.fr/ Flash
Canal Plus (à la demande) http://canalplusalademande.canal-plus.com/ Plugin propriétaire
Arte http://plus7.arte.tv/ Flash
M6 http://www.m6replay.fr/ Flash
W9 http://www.w9replay.fr/ Flash
TMC http://www.tmc.tv/videos/tmc-a-revoir/catch-up.html Flash (WAT)
Groupe AB (Animaux, AB Moteurs…) http://www.repeatlab.com/ Windows Media
Odyssée http://www.odyssee.com/odyssee/videos/0,,4308537-VU5WX0lEIDUxNQ==,00-bande-annonce-.html Flash (WAT)
Direct 8 http://www.direct8.fr/replay-8/ Flash (YouTube)
NRJ12 http://www.nrj12.fr/nrj12-on-demand-3276/ Flash
TV5 http://www.tv5.org/TV5Site/webtv/index.php RealPlayer
Nolife http://www.nolife-tv.com/online Flash

Source : http://www.macgeneration.com/unes/voir/127771/la-tele-le-web-et-le-mac

mercredi 13 octobre 2010

WORLD ELECTRIC GUIDE

ELECTRIC POWER AROUND THE WORLD

Check out our business phone numbers without setup fees. Business Phone Numbers can give your business an edge.
Purchase UK phone numbers with a free trial. UK Phone Number call diverts to any phone line in the world.
The table below summarizes information on the electrical systems in use in most countries of the world.
The voltages listed here are the “nominal” figures reported to be in use at most residential or commercial sites in the country or area named.  Most electrical power systems are prone to slight variations in voltage due to demand or other factors.  Many former 220 V countries have converted or are in the process of converting to  the EU standard of 230 V.  Generally, this difference is inconsequential, as most appliances are built to tolerate current a certain percentage above or below the rated voltage.  However, severe variations in current can damage electrical equipment.
The electric power frequency is shown in the number of hertz (cycles per second).  Even if voltages are similar, a 60-hertz clock or tape recorder may not function properly on 50 hertz current.  All systems described here use alternating current (AC).  The plug types listed indicate all types known to be in use in that country.  Not all areas of a country may use all types of plugs listed for that country, since there may be regional differences based on the power system in a certain area.
Finally, I've only included information that is likely to be relevant for travelers.  Just about everywhere listed here has higher voltage lines available for heavy duty appliances (not to mention commercial or industrial applications).  While this would be relevant for those moving to another country, I'm assuming most travelers will leave their clothes dryers, air conditioners and arc welders at home!   If you are interested in converting electrical units or sizing a generator try these Power Generator Calculators (for calculating generator size in kW, converting kW to kVA, kVA to kW, Volts, Amps, and more).

COUNTRY VOLTAGE FREQUENCY PLUG COMMENTS
Afghanistan 220 V 50 Hz C & F * * A UN correspondent reports C and F common in Kabul, but its likely a variety of plugs may be used around the country.  Some sources report Type D also in use.  Other reports indicate voltage variances from 160V to 280V.
Albania 220 V* 50 Hz C & F *Voltage variations common
Algeria 230 V 50 Hz C* & F *A variation of Type C with a ground post offset about 1/2-inch from center may also be found.
American Samoa 120 V 60 Hz A, B, F & I
Andorra 230 V 50 Hz C & F
Angola 220 V 50 Hz C
Anguilla 110 V 60 Hz A (maybe B)
Antigua 230 V* 60 Hz A & B *Airport area is reportedly Antigua power is 110 V.
Argentina 220 V 50 Hz C & I* *Neutral and line wires are reversed from that used in Australia and elsewhere. Click here for more.
Armenia 220 V 50 Hz Type C Electrical Outlet & F
Aruba 127 V* 60 Hz A, B & F *Lago Colony 115V
Australia 240 V 50 Hz I *Outlets typically controlled by adjacent switch. Click here for more.
Austria 230 V 50 Hz F Type C may be found, but rare.
Azerbaijan 220 V 50 Hz C, F
Azores 220 V* 50 Hz B, C, & F *Ponta Delgada 110 V; to be converted to 220 V
Bahamas 120 V 60 Hz A & B
Bahrain 230 V* 50 Hz* G *Awali 110 V, 60 Hz
Balearic Islands 220 V 50 Hz C & F
Bangladesh 220 V 50 Hz A, C, D, G & K
Barbados 115V 50 Hz A
Belarus 220 V 50 Hz C & F
Belgium 230 V 50 Hz E Notes from correspondents: a 'C' style plug can be used with 'E' and 'F' receptacles.  All double-insulated appliances are indeed fitted with a 'C' plug, and can be used in any compatible receptacle (C E F and narrow L).  Type C receptacles are prohibited in Belgium.
Belize 110/220 V 60 Hz B & G
Benin 220 V 50 Hz E
Bermuda 120 V 60 Hz A & B
Bhutan 230 V 50 Hz D, F, & G Type M plugs also identified by some sources.
Bolivia 220/230 V* 50 Hz A & C *La Paz & Viacha 115V
Bosnia 220 V 50 Hz C & F
Botswana 231V 50 Hz M Type G may be found, but rare.
Brazil 110/220 V* 60 Hz A & B, C *127 V found in states of Bahia, Paraná (including Curitiba), Rio de Janeiro, São Paulo and Minas Gerais (though 220 V may be found in some hotels).  Other areas are 220 V only, with the exception of Fortaleza (240 V).  Outlets (click for more) are often a combination of type A and C and can accept either type plug.
Brunei 240 V 50 Hz G
Bulgaria 230 V 50 Hz C* & F* *Outlets are reported as type F, though both type C and F plugs may be encountered.
Burkina Faso 220 V 50 Hz C & E
Burundi 220 V 50 Hz C & E
Cambodia 230 V 50 Hz A & C* *Some outlets are a combination of type A and C and can accept either type plug.   Plug G may be found in some hotels.
Cameroon 220 V 50 Hz C, E
Canada 120 V 60 Hz A & B
Canary Islands 220 V 50 Hz C, E, & L Type L plugs/outlets may have different pin spacing.  The smaller and closer pins are for a rated current of 10 A, the bigger and wider pins are for a rated current of 16 A. 
Cape Verde 220 V 50 Hz C & F
Cayman Islands 120 V 60 Hz A & B
Central African Republic 220 V 50 Hz C & E
Chad 220 V 50 Hz D, E & F
Channel Islands 230 V 50 Hz G
Chile 220 V 50 Hz C & L
China, People's Republic of 220 V 50 Hz A, I, G The "official" plug type is like type A but slightly shorter and without holes in blades.  Type A and I outlets are common, and Type G might also be found.  Click here for photos and more info.
Colombia 110 V 60 Hz A & B
Comoros 220 V 50 Hz C & E
Congo, People's Rep. of 230 V 50 Hz C & E
Congo, Dem. Rep. of (former Zaire) 220 V 50 Hz C & D
Cook Islands 240 V 50 Hz I
Costa Rica 120 V 60 Hz A & B
Côte d'Ivoire
(Ivory Coast)
220 V 50 Hz C & E
Croatia 230 V 50 Hz C & F
Cuba 110/220 V 60 Hz A & B, C
F & L
Most older hotels 110 V.  Some newer hotels 220 V.  Some outlets are a combination of type A and C and can accept either type plug.
Cyprus 240 V 50 Hz G
Czech Republic 230 V 50 Hz E
Denmark 230 V 50 Hz C & K Denmark's connectors have slight differences from those used elsewhere.  While pin diameter and spacing is standard, outlets may have different housing depths which could interfere with standard adaptors -- one report says this is due to "childproofing."  Also, Plug C fits into K-type outlets (but not vice versa).
Djibouti 220 V 50 Hz C & E
Dominica 230 V 50 Hz D & G
Dominican Republic 110 V 60 Hz A Type J may exist in some hotels.
East Timor 220 V 50 Hz C, E, F, I, A UN correspondent reports "power is poor in the country with frequent brownouts and blackouts.  I suspect that surges are frequent as we go through a lot of surge-protecting power bars."  Further he reports than Type I is common as much construction is done by Australians; type C is common in building built during Indonesian occupation; type E is less common; type F is common in offices but not hotels.
Ecuador 120-127 V 60 Hz A & B
Egypt 220 V 50 Hz C
El Salvador 115V 60 Hz A & B
England (See United Kingdom)
Equatorial Guinea 220 V* 50 Hz C & E *Voltage varies between 150 & 175V with frequent outages
Eritrea 230 V 50 Hz C
Estonia 230 V 50 Hz F Type C may be found in older buildings.  Type E plugs may work in either C or F type outlets.
Ethiopia 220 V 50 Hz D, J, & L
Faeroe Islands 220 V 50 Hz C & K
Falkland Islands 240 V 50 Hz G
Fiji 240 V 50 Hz I
Finland 230 V 50 Hz CF
France 230 V 50 Hz E Type C plugs  may be found on some appliances, and will fit the Type E outlet.  Type C outlets may be found in older buildings.  Type A may be found in older buildings but is illegal.
French Guiana 220 V 50 Hz C, & E
Gaza 230 V 50 Hz H  
Gabon 220 V 50 Hz C
Gambia 230 V 50 Hz G
Georgia 220 V 50 Hz C
Germany 230 V 50 Hz C & F
Ghana 230 V 50 Hz D & G
Gibraltar 240 V 50 Hz C & G
Great Britain (See United Kingdom)
Greece 220 V 50 Hz C, D, E & F
Greenland 220 V 50 Hz C & K
Grenada (Windward Is.) 230 V 50 Hz G
Guadeloupe 230 V 50 Hz C, D, & E
Guam 110 V 60 Hz A & B
Guatemala 120 V 60 Hz A & B, G, & I
Guinea 220 V 50 Hz C, F & K
Guinea-Bissau 220 V 50 Hz C
Guyana 240 V* 60 Hz* A B, D & G *Inside the capital city of Georgetown, both 120 V and 240 V at either 50 or 60 Hz are found, depending on the part of the city (50 Hz most common).  Actual voltage may vary from area to area.
Haiti 110 V 60 Hz A & B
Honduras 110 V 60 Hz A & B
Hong Kong 220 V* 50 Hz G, M Type M replaced by Type G but still found.
Hungary 230 V 50 Hz C & F
Iceland 220 V 50 Hz C & F
India 230 V 50 Hz C & D Click here for photos and more info.
Indonesia 127/230 V* 50 Hz C, F & G *Conversion to 230 V in progress; complete in principal cities
Iran 230 V 50 Hz C
Iraq 230 V 50 Hz C, D, & G
Ireland (Eire) 230 50 Hz G Type D once common and may be occasionally found.
Isle of Man 240 V 50 Hz C & G
Israel 220 V 50 Hz C
Italy 230 V 50 Hz C, F & L Type L plugs/outlets may have different pin spacing.  The smaller and closer pins are for a rated current of 10 A, the bigger and wider pins are for a rated current of 16 A.  Both kinds are currently used and comply to the relevant Italian (CEI) regulations.  Some outlets have overlapping holes to accept either older or newer types.
Ivory Coast (See Côte d'Ivoire)
Jamaica 110 V 50 Hz A & B
Japan 100 V 50/60 Hz* A & B *Eastern Japan 50 Hz (Tokyo, Kawasaki, Sapporo, Yokohoma, and Sendai); Western Japan 60 Hz (Osaka, Kyoto, Nagoya, Hiroshima)
Jordan 230 V 50 Hz D, F, G & J* *Type C may be found in some hotels.
Kenya 240 V 50 Hz  G  
Kazakhstan 220 V 50 Hz C
Kiribati 240 V 50 Hz I
Korea, South 220 V 60 Hz  C & F* *Type F likely to be found in offices and hotels.  110 V power with plugs A & B was previously used but is being phased out.  Older buildings may still have this, and some hotels offer both 110 V and 220 V service.
Kuwait 240 V 50 Hz D* & G *Type D primarily used for 15A service, Type G primarily for 13A service..
Laos 230 V 50 Hz A B, C, E & F
Latvia 220 V 50 Hz C & F
Lebanon 110/220 V 50 Hz A, B, C, D & G
Lesotho 220 V 50 Hz M
Liberia 120 V 60 Hz A & B
Libya 127 V* 50 Hz D & L *Barce, Benghazi, Derna, Sebha & Tobruk 230 V
Lithuania 220 V 50 Hz C & F
Liechtenstein 230 V 50 Hz J
Luxembourg 220 V 50 Hz C & F
Macau 220 V 50 Hz   D & G
Macedonia 220 V 50 Hz C & F
Madagascar 220 V 50 Hz C & E
Madeira 220 V 50 Hz C & F
Malawi 230 V 50 Hz G
Malaysia 240 V 50 Hz G
Maldives 230 V 50 Hz A, D, G, J, K & L
Mali 220 V 50 Hz C & E
Malta 240 V 50 Hz G
Martinique 220 V 50 Hz C, D, & E
Mauritania 220 V 50 Hz C
Mauritius 230 V 50 Hz C & G
Mexico 127 V 60 Hz A & B
Micronesia (Federal States of) 120 V 60 Hz A & B
Monaco 127/220 V 50 Hz C, D, E  F
Mongolia 220 V  50 Hz C & E
Montenegro 220 V 50 Hz C & F
Montserrat (Leeward Is.) 230 V 60 Hz A & B
Morocco 127/220 V* 50 Hz C & E *Conversion to 220 V only underway
Mozambique 220 V 50 Hz C, F & M* *Type M found especially near the border with South Africa, including the capitol, Maputo.
Myanmar (formerly Burma) 230 V 50 Hz C, D, F & G* Type G* found primarily in better hotels.  Also,  many of major
hotels chains are said to have multipurpose outlets, which will take Australian 3-pin plugs and perhaps other types.
Namibia 220 V 50 Hz M
Nauru 240 V 50 Hz I
Nepal 230 V 50 Hz C & D
Netherlands 230 V 50 Hz C & F
Netherlands Antilles 127/220 V* 50 Hz A, B, & F *St. Martin 120 V 60 Hz; Saba &(St. Eustatius 110 V 60 Hz A, maybe B
New Caledonia 220 V 50 Hz F
New Zealand 230 V 50 Hz I
Nicaragua 120 V 60 Hz A
Niger 220 V 50 Hz A, B, C, D, E & F
Nigeria 240 V 50 Hz D & G
Northern Ireland (see United Kingdom)
Norway 230 V 50 Hz C & F
Okinawa 100 V* 60 Hz A, B & I *Military facilities 120 V
Oman 240 V* 50 Hz G *Voltage variations common
Pakistan 220 V 50 Hz C & D
Palmyra Atoll 120 V 60 Hz A & B
Panama 110 V* 60 Hz A, B *Panama City 120 V
Papua New Guinea 240 V 50 Hz I
Paraguay 220 V 50 Hz C
Peru 220 V* 60 Hz* A, B & C *Talara 110/220 V; Arequipa 50 Hz
Philippines 220 V 60 Hz A, B, C  Type A most commonly found.
Poland 230 V 50 Hz C & E
Portugal 230 V 50 Hz C & F
Puerto Rico 120 V 60 Hz A & B
Qatar 240 V 50 Hz D & G
Réunion Island 220 V  50 Hz E
Romania 230 V 50 Hz C & F
Russia 220 V 50 Hz F & C Type F used in new construction.  Type C common in older structures.
Rwanda 230 V 50 Hz C & J
St. Kitts and Nevis (Leeward Is.) 230 V 60 Hz D & G
St. Lucia (Windward Is.) 240 V 50 Hz G
St. Vincent (Windward Is.) 230 V 50 Hz A, C, E, G, I & K
Samoa 230 V 50 Hz I
Saudi Arabia 127/220 V 60 Hz A, B, F & G
Scotland (See United Kingdom)
Senegal 230 V 50 Hz C, D, E & K
Serbia 220 V 50 Hz C & F
Seychelles 240 V 50 Hz G
Sierra Leone 230 V 50 Hz D & G
Singapore 230 V 50 Hz G Type A adaptors are widely available from shops as an extension set of 2 to 5 sets of sockets; most commonly used for audio and video equipment. 
Slovak Republic 230 V 50 Hz E
Slovenia 220 V 50 Hz C & F
Somalia 220 V* 50 Hz C *Berbera 230 V; Merca 110/220 V
South Africa 220/230 V* 50 Hz M** *Grahamstad & Port Elizabeth 250V; also found in King Williams
** Types C & G can also be found in some areas.
Spain 230 V 50 Hz C & F A correspondent reports that in Barcelona's Barrio Gothic, voltage is 120 V 60 Hz using Types C & F plugs.  Step up transformers are required to use typical European devices.
Sri Lanka 230 V 50 Hz D
Sudan 230 V 50 Hz C & D
Suriname 127 V 60 Hz C & F
Swaziland 230 V 50 Hz M
Sweden 230 V 50 Hz C & F
Switzerland 230 V 50 Hz J Type C plugs  are common on appliances, and will fit the Type J outlet.
Syria 220 V 50 Hz C, E, & L
Tahiti 220 V 60 Hz A, B, E All electrical outlets protected by ground fault circuit interruptors (GFCI).
Tajikistan 220 V 50 Hz C & I
Taiwan 110 V 60 Hz A, B
Tanzania 230 V 50 Hz D & G
Thailand 220 V 50 Hz A & C* *Some outlets are a combination of type A and C and can accept either type plug.
Togo 220 V* 50 Hz C *Lome 127 V
Tonga 240 V 50 Hz I
Trinidad & Tobago 115V 60 Hz A & B
Tunisia 230 V 50 Hz CE 
Turkey 230 V 50 Hz CF
Turkmenistan 220 V 50 Hz B & F
Uganda 240 V 50 Hz G
Ukraine 220 V 50 Hz C
United Arab Emirates 220 V* 50 Hz G
United Kingdom 230 V* 50 Hz G *Outlets typically controlled by adjacent switch.
Though nominal voltage has been officially changed to 230 V, 240 V is within tolerances and commonly found. 
United States of America 120 V 60 Hz A & B
Uruguay 220 V 50 Hz C, F, I* & L Type F becoming more common as a result of computer use.  *Neutral and line wires are reversed from that used in Australia and elsewhere. 
Uzbekistan 220 V 50 Hz C & I
Vanuatu 230 V 50 Hz I Some Type G may linger from British Colonial period, but are a rarity.
Venezuela 120 V 60 Hz A & B
Vietnam 127/220 V* 50 Hz A, C & G *To be standardized at 220 V.  Type G found in newer hotels, primarily those built by Singaporean and Hong Kong developers.
Virgin Islands (British and U.S.) 115V 60 Hz A & B
Wales (See United Kingdom)
Yemen, Rep. of 220/230 V 50 Hz A, D & G
Zambia 230 V 50 Hz C, D & G
Zimbabwe 220 V 50 Hz D & G